• Le psychiatre et psychanalyste Christophe Dejours revient en ce 1er mai sur la notion de travail. L'évolution des technologies et la pression sur les salariés ont changé la donne. Aujourd'hui, on souffre parfois de ne pas pouvoir faire correctement son travail.

    Jean Leymari, France Info 1er mai 2014


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  • "Chaque homme cache en lui un enfant qui veut jouer." (Nietzsche)


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  • « Ce n'est pas que j'ai vraiment peur de mourir, mais je préfère ne pas être là quand ça arrivera. » (Woody Allen Extrait de Without Feathers)


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  • Les réponses sont souvent sur le terrain..."Dans les  coups durs, j'ai toujours dit à mes équipes : demandez à vos hommes sur le terrain, ce sont eux qui ont les bonnes réponses." (Daniel Bernard, Président de kingfisher et du fonds d'investissement Provestis (management nov 2009 p 120))


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  • Le Management Minute : affûtez votre intuition pour bien décider  dans l’urgence Plutôt que d’attendre d’avoir un maximum d’informations, suivez votre intuition. C’est plus fiable qu’on ne le pense.


    Lorsqu’ils prennent des décisions d’achat et de vente, les traders tranchent à l’instinct, ne jetant qu’un bref coup d’œil aux statistiques qui foisonnent sur leurs écrans. De même, les médecins urgentistes agissent souvent sans prendre le temps d’effectuer un diagnostic approfondi. Quant aux techniciens de hot line qui dépannent nos ordinateurs à distance, ils sont capables de comprendre ce qu’on ne leur dit pas.


    «L’intuition est un accélérateur d’intelligence, elle permet d’analyser une situation en un éclair, à partir d’un détail ou d’un signal faible», explique Pascale Auger, professeure à Euromed Management et auteure de «Manager des situations complexes» (Dunod). Pour l’économiste Daniel Kahneman, ce mode d’analyse s’appuie sur nos connaissances et nos acquis : «On apprend à reconnaître des éléments familiers dans une situation nouvelle.»


    L’analyse rapide suppose donc d’avoir de l’expérience dans un domaine. Mais elle requiert aussi une disposition d’esprit, liée à notre capacité à écouter et à absorber, sans préjugés, tout ce qui nous entoure. Comment la développer ? «En sortant des sentiers battus, pour varier les angles de vue, et en refoulant nos peurs, qui bloquent l’intuition», répond Pascale Bélorgey, manager de l’offre de formation en efficacité professionnelle chez Cegos et chargée du stage «L’intuition : s’écouter pour décider».


    Dans un monde où l’on apprend à réfléchir avant de passer à l’acte, on se méfie de la décision intuitive, assimilée au coup de tête, qui nous ferait agir en dépit du bon sens, sous l’empire de l’émotion. Or elle s’appuie sur un véritable processus analytique. «D’ailleurs, 90% des stratégies, même dans les grands groupes, reposent sur elle», estime Bruno Jarrosson, chez DMJ Consultants. Ce mode de décision présente donc un double intérêt : il permet de gagner un temps considérable et se révèle de surcroît performant, surtout dans un environnement stable. «Lorsque ce dernier est changeant, la décision intuitive comporte une part de risque plus importante, convient Bruno Jarrosson. L’industrie du disque ou la VPC en ont fait les frais.»


    Certes, le management minute soulève toujours des réticences liées à son caractère apparemment arbitraire. Pour contourner les objections, ayez le réflexe de confronter vos intuitions au réel. Ce sera un bon moyen de les tester mais aussi de renforcer votre argumentaire pour convaincre vos équipes.


    Pourquoi il faut savoir décider tôt ?
    C’est lorsqu’on a peu d’informations et de visibilité sur un projet  que nos décisions ont le plus d’impact. Kristian Kreiner et Soren Christensen, théoriciens de l’organisation, ont mis ce paradoxe en lumière dans leur modèle des conséquences (schéma ci-contre). “La tentation est grande d’attendre pour avoir plus d’informations, mais ce serait une erreur”, confirme Hervé Laroche, professeur à l’ESCP. Tout d’abord, parce que plus vous tarderez, moins il y aura de décisions importantes à prendre. Ensuite, parce que vous aurez favorisé des choix implicites de la part de vos équipes, qui ne seront peut-être pas les meilleurs. Mieux vaut donc avoir le courage de prendre des décisions tôt, quitte à s’appuyer, pour cela, sur des bases incertaines.  
     

    Christine Halary

    04/06/2013


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  • "Le plus important élément de la personnalité correspond à la personne que les autres perçoivent ." (Tomas Chamorro-Premuzic, professeur de psychologie à l'université de Londres)


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  • [...]« L’encadrement »  désigne  tous  les  emplois,  au  sein  d’une  entreprise,  dont  le  travail implique de diriger une équipe de salariés subordonnés . Il suppose un lien hiérarchique.[...] ("Manager en dernier ressort-Le travail de l'encadrement de proximité à EDF"  Emmanuel Martin, thèse doctorale, Ecole des Hautes Etudes en Sciences Sociales, 201)
        


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  • [...]On a du pouvoir pour faire quelque chose et on aboutit à faire des choses à partir du pouvoir sur les gens. Le paradoxe est qu'à l'intérieur d'une organisation, lorsque tout est parfaitement organisé, il n'y a plus de pouvoir. [...](Entretien avec Michel Crozier Sens Public, Christophe Premat 12 décembre 2003)


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  • "L'organisation est l'agencement des relations entre les composants ou individus qui produit une unité complexe ou système, dotée de qualités inconnues au niveau des composants où individus.l'organisation lie de façon interactionnelle des éléments ou événements individus divers qui dés lors deviennent les composants d'un tout. Elle assure solidarité et solidité relative, donc assuré au système une certaine possibilité de durée en dépit des perturbations aléatoires." (Edgar Morin 1977)


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  • [...] Si les managers percevaient mieux que l'organisation réelle n'est jamais l'organisation apparente et que le changement de comportement ne se décrète pas avec des écrits ou par l'annonce d'un nouvel organigramme, ils feraient l'économie de solutions qui consistent, ici encore, à faire toujours plus de la même chose.[...] ("Manager par l'approche systémique" Dominique Bériot, Ed. Eyrolles, 2010 p43) 


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